Catégorie : Entrepreneurship

Entrepreneurship Motivation

Mon 10 minutes avec : François Lambert

J’ai eu la chance de rencontrer Francois Lambert lors d’un événement immobilier auquel je participe 2-3 fois par année, Comme tout entrepreneur nous avons naturellement parler business. Je lui ai avoué ne pas avoir été super enjoué la première fois que j’ai lu le livre « À prendre ou à laisser : les conseils d’un dragon pour réussir » car au moment  j’étais en déssacord  par certains des concepts qui y était illustrés. Je démarrais mon entreprise à l’époque, sans partenaires et avec 0$. Comme je commençais tranquillement à décoller, je n’aimais pas l’idée que d’avoir un partenaire ou de l’argent mettais les chance de mon coté. Quelques années plus tard (et après quelques erreurs couteuses..) , j’opère la majorité des mes projets avec des partenaires et je préfère avoir un petit coussin pour me lancer dans une nouvelle aventure.

Voici dons les trois points que j’ai retenu lors de mon 10 minutes avec Francois Lambert !
1. Additionner c’est bien, multiplier c’est mieux !
Que ce soit avec vos partenaires d’affaires ou votre équipe de travail, il est toujours avantageux de trouver des gens qui ont des forces complémentaires aux vôtres. Si vous êtes fort en comptabilité, un autre comptable pourra renforcer vos connaissance, mais un bon vendeur par exemple vous donnera des ventes pour mettre votre comptabilité à l’épreuve. Dans le cas d’un partenaires l’avantage c’est qui ne le fera pas pour le salaire mais pour voir croitre la business que vous êtes en train de créer. François raconte qu’il a étudier en comptabilité et son partenaires en informatique mais que dans leur entreprise, ils ont inverser les rôles pour complété leurs forces et multiplier leurs résultats!
2. Le CPA – Le seul comptable qui va te donner un budget de pub illimité
Il y a une citation bien connu qui dit quelque chose du genre « 50% de votre marketing fonctionne et 50% non, le problème c’est que vous ne savez jamais lequel et lequel ». La solution à ce problème très répandu est d’établir quel est votre CPA (cost per acquisition) connu en français sous le nom de « coût d’acquisition de client ». Donc, combien vous coute l’acquisition d’un client en pub, frais de représentation, etc. Si vous pouvez trouvez ce chiffre, vous saurez alors combien vous pouvez vous permettre de dépenser en publicité !

Assez simple non, pourtant 99% des entreprises ne savent pas comment le calculer, alors il doivent se faire une budget marketing pour limité leurs pertes. Ils parlent de pub en terme de visibilité et non de nouvelle clientèle.. François étant investisseur en capital risque et investisseur dans plusieurs entreprise m’as dit que lorsqu’il rencontre une entreprise qui souhaite obtenir un investissement, c’est la première questions qu’il pose ! Alors si jamais vous avez la chance de lui faire un pitch voici la formule que vous devez connaitre !

(CPA + votre coût de production + les frais fixes) < Prix de vente
3. Quel est votre élément différenciateur?
La deuxième questions qu’il pose à n’importe quel entrepreneur et encore plus à quelqu’un qui cherche un investissement est, quel est votre élément différenciateur. Encore une fois, c’est une question piège ! Parce que le produits est bon ? Tous le monde s’attend à acheter un produit de qualité.. Parce que vous offrez un bon service ? Personne n’as jamais fait un pitch en disant que sont service était vraiment moyen.. Alors quel est votre élément différenciateur, idéalement quelque chose d’unique qui vous donne un net avantage sur vos compétiteur, ou encore trouver une faiblesse que tous vos concurrents ont en commun et vous en servir pour améliorer votre offre de service. Dans son entreprise de centre d’appel, François de intégrer la transparence dans un milieu mal vu du consommateur pour connaitre le succès qu’il a eu.

Donc quel est VOTRE élément différenciateur ?

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Entrepreneurship Lecture

Les 4 règles d’or de Richard Branson pour prendre une décision difficile.

Durant l’été 2012, Virgin Trains a été informé qu’elle avait perdu l’appel d’offre pour conserver les droits d’exploitation ferroviaire de la côte-ouest du Royaume-Uni. Virgin Trains opérait la franchise depuis 15 ans et avait aidé à augmenter son nombre de passagers annuels 13M à 30M. Richard Branson, président de Virgin Group, écrit dans son livre The Virgin Way: Everything I know about leadership qu’il était «stupéfait et déconcerté» d’avoir pu perdre la soumission face à FirstGroup.
Il décida donc de rester calme et de convoquer une réunion avec ses avocats et conseillers. Après analyse, tous semblaient conclure que les chiffres de l’offre de FirstGroup étaient insoutenables. Bien qu’il lui avait été conseillé de ne pas aller de l’avant avec un procès, après avoir soigneusement analysé les faits, il décida de le faire quand même.
Une semaine avant de passer en cour contre le ministère des transports, Branson a reçu un appel téléphonique lui informant qu’il avait bel et bien fait de graves erreurs de calculs et que Virgin avait fait la meilleure offre. Branson estime que sa décision de poursuivre le gouvernement, qui a finalement sauvé son entreprise ferroviaire, à été une des décisions les plus critiques de sa carrière. Dans son livre, il met en évidence quatre règles qu’il a utilisées pour prendre des décisions difficiles :
1. Ne pas agir sous l’emprise des émotions.
Branson dit qu’il était estomaqué lorsqu’il a appris que le contrat de Virgin Trains n’avait pas été retenu. Cependant, il était suffisament expérimenté pour savoir qu’il devait prendre un certain temps pour recueillir des données plutôt que de laisser ses sentiments prendre le dessus.
S’il avait fait une déclaration à la presse par frustration ou s’il avait poursuivi le gouvernement britannique par rage plutôt que pour les faits, il aurait augmenté la probabilité de voir son cas rejeté.
Il est tout aussi mauvais d’agir sur une émotion positive. Laissez les émotions et les premières impressions se dissiper avant de prendre votre décision finale.
2. Trouver le plus de mauvais cotés possibles.
Branson examine attentivement tout ce qui pourrait mal tourner avant d’aller de l’avant avec une décision.
En ce qui concerne le cas du du chemin de fer, les avocats de Branson lui ont d’abord dit qu’il avait 10% de chances de gagner un procès contre le gouvernement. Cependant, après avoir recueilli les preuves que certains chiffres dans l’offre de son concurrent étaient mauvais, il était convaincu qu’il détenait la vérité.
«Rien n’est parfait, il faut donc travailler dur à découvrir les verrues cachées des choses. En les retirant vous ne pouvez que les rendre mieux», écrit-il.
3. Regarder la vue d’ensemble.
Avant de prendre une décision, Branson jette un regard sur la façon dont elle aura une incidence sur ses autres projets à court et à long terme.
«Celle-ci est peut-être une « trop belle » opportunité, mais comment cela affectera-il d’autres projets ou priorités ? Si vous ne pouvez gérer ce projet en plus des autres en attente, lequel obtient le feu vert et pourquoi?» écrit-il.
Branson souligne que l’un des meilleurs exemples d’avoir ignoré la vue d’ensemble est quand le PDG de Carnival Corporation Mickey Arison a décidé d’aller à un match de basket-ball des Miami Heat le même jour où l’un des navires de croisière de son entreprise a coulé au large des côtes d’une île italienne, tuant 32 personnes et en blessant plusieurs autres. Il a ainsi terni sa réputation et celle de Carnival Corporation.
4. Se protéger contre les pertes.
Dans un article sur LinkedIn publié plus tôt cette année, Branson écrit que la meilleure leçon que son père lui ait jamais enseignée était de limiter les pertes possibles avant d’entamer une nouvelle entreprise.
Le père de Branson lui avait dit qu’il lui permettrait, à 15 ans, de quitter l’école et de fonder Student Magazine à condition qu’il réussisse à vendre suffisamment d’espaces publicitaires pour payer les coûts de production et d’impression (4000£).
C’est une stratégie qu’il a répétée en 1984 quand il a fait l’énorme bond de l’industrie de la musique vers le transport aérien avec Virgin Atlantic. Il n’a pu convaincre ses partenaires chez Virgin Records d’accepter l’accord avant d’avoir convaincu Boeing de reprendre le jet 747 de Virgin après un an si l’entreprise ne fonctionnait pas comme prévu.

Ces quatre lignes directrices simples peuvent devenir des habitudes dans votre prise de décision. Elles vous seront utiles que vous soyez sur le point d’aborder un client potentiel ou de poursuivre le gouvernement britannique.

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7 secrets pour devenir le meilleur patron selon Kevin O’Leary

Être patron, en dépit de ce que certains pourraient penser, ce n’est pas toujours facile. Nous sommes quotidiennement confrontés à divers dilemmes, nous devons gérer nos employés, nous entretenir avec différents clients, et acquitter tant d’autres tâches que parfois le temps semble nous manquer.

Pour être un maître du leadership, il faut être direct, transparent et savoir prendre des décisions. Comme il est toujours intéressant de s’inspirer de ceux qui ont grandement réussi, j’ai trouvé une entrevu de Kevin O’Leary où il donne 7 règles à suivre pour arriver à être un meilleur patron.

1. Soyez constant dans vos commandes.

Si vous avez un associé, vous devez vous partager la gestion des employés. Ils doivent savoir vers qui se tourner lorsqu’un problème d’un certain type fait surface. Vous ne devez déroger de vos propres responsabilités qu’en cas d’urgence, parce qu’un surplus d’autorité peut confondre vos employés et créer des délais inutiles.

2. Être accessible.

Vos partenaires doivent être capables de vous rejoindre facilement. Retournez leurs appels et laissez-leur savoir qu’ils peuvent vous rencontrer. Si votre premier réflexe est de vous cacher, c’est que vous n’êtes pas un leader.

3. Déléguer.

Il est impossible de tout faire vous-même. Si c’était possible, vous n’auriez pas d’employés. Tenter de gérer chaque détail soi-même est nuisible à la qualité générale de l’entreprise.

4. Prendre le blâme.

Vous êtes toujours responsable, même si c’est un de vos employés qui a créé un problème. C’est vous qui avez engagé vos employés. Trouvez une solution, puis décidez des conséquences que subira celui qui ne pouvait suivre le rythme.

5. La vie est injuste.

Certaines personnes feront plus d’argent que d’autres. Certains employés seront plus performants. Il y aura des meilleurs vendeurs, des gens en lesquels vous aurez plus de confiance. Vous aurez des favoris. C’est comme ça. Ceux qui n’acceptent pas ce fait devront simplement s’y habituer.

6. Le patron ne fait pas toujours plus d’argent.

Si vous trouvez une perle, payez-la bien. Si vous voulez garder vos employés, ne sous-estimez pas leur valeur. L’argent est un immense motivateur et vous devrez parfois vous sacrifier pour pouvoir cueillir le fruit de leurs efforts. Investir en vos employés est un bon moyen de faire fructifier votre argent.

7. Votre compagnie est la priorité.

Cette règle est LA plus importante. La santé et la croissance de votre entreprise devraient être vos buts principaux. Soyez clairs, et laissez vos employés vous aider à atteindre vos objectifs.

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Les 10 trucs pour les entrepreneurs par Robert Herjavec de Shark Tank

Robert Herjavec, un des membres de l’émission Shark Tank, a récemment publié cette publication sur LinkedIn:

« Je voulais partager mes 10 meilleurs trucs pour les nouveaux entrepreneurs. Cette liste a été publiée en premier par CBC News et je m’y suis souvent référé quand je rencontrais des nouveaux entrepreneurs ou quand j’entraînais notre équipe de vente, au groupe Herjavec.

J’espère que cela vous aidera à bien commencer votre semaine et à vous placer sur le droit chemin pour que votre entreprise connaisse le succès.»

 

1. Croyez en votre entreprise – et en vous-même.

Il y a tellement de gens qui vous diront que votre idée n’est pas bonne, qu’elle ne fonctionnera jamais. Vous devez réellement croire en votre idée et en vous-même, presque jusqu’à en être désillusionné. Rappelez-vous que tous ont des conseils, mais que personne ne sait vraiment par où vous devez passer pour commencer et faire progresser une entreprise, sauf s’ils l’ont vécu. Il est facile de parler, mais agir nécessite beaucoup plus d’efforts.

Connaissez-vous l’histoire de l’ancien général qui a emmené ses troupes au combat, et lorsqu’ils sont arrivés sur la rive étrangère, il a brulé tous les bateaux pour qu’ils ne puissent se retirer du combat? C’est ce genre de croyance que ça vous prend. Vous ne pouvez pas reculer.

 

2. Testez votre idée avant de commencer.

Ne demandez à votre mère, à votre femme, à votre mari ou à votre barbier. Ils vous donneront des opinions – souvent biaisées. Testez votre idée avec des gens qui comptent: ceux qui vous paieront. Appelez des clients potentiels et voyez s’ils sont intéressés à acheter ce que vous vendez. Fiez-vous sur des faits et non sur des opinions.

 

3. Tout le monde ment.

Certains vont vous mentir volontairement. D’autres le feront pour que vous entendiez ce que vous voulez entendre. Dans les deux cas, vérifiez tout ce qui vous est dité  Si quelqu’un vous dit qu’ils vont investir: planifiez un rendez-vous avec eux. Testez ce que les gens vous disent. Ils ne veulent pas toujours vous mentir, mais ils le font souvent.

 

4. Apportez un compas avec vous.

Quand vous commencez en affaires, vous devez réaliser que ce sera de plus en plus difficile, encore plus que vous ne le croyez. Soyez préparé à vivre les pires situations que vous pouvez imaginer, et assumez que vous êtes encore loin de la vérité.

Soyez préparé. C’est mieux d’avoir un compas pour s’en sortir dans les bois que d’avoir à manger vos amis.

 

5. S’ils ne peuvent vous attraper, ils ne peuvent vous dépasser.

Allez vite, très vite. Un éléphant ne peut attraper une souris qui court, mais il peut assurément l’écraser si elle est immobile! Quand vous êtes petit, vous devez être plus rapide que la compétition. Soyez habile, agile et responsable. Apprenez de vos clients. En prenant de l’expansion, soyez préparé aux nouvelles entreprises qui tenteront de vous surpasser et demandez-vous comment vous pouvez maintenir l’agilité qui vous a mené au succès.

 

6. Entraînez-vous pour un marathon.

Cela peut sembler contradictoire, parce que l’assiduité est très importante. Lorsque vous trouvez une bonne opportunité,  allez lentement et vérifiez, revérifiez tout. Le monde des affaires est un sprint jusqu’à ce que vous trouviez une opportunité. Ensuite, vous devez être patient, comme un marathonien. C’est difficile, mais vous devez y arriver pour devenir un meilleur entrepreneur.

 

7. Chassez pour vos repas.

Peu importe à quel point vous serez rempli, n’arrêtez jamais de chercher des opportunités. Vous ne serez jamais satisfait en tant qu’entrepreneur, et la base du succès est de trouver de nouveaux clients. Soyez sûrque votre compagnie ait toujours cette attitude de sortir et d’aller chasser ses repas, d’aller trouver des clients. Les vendeurs devraient être des chasseurs.

 

8. Il n’y a pas de balance entre le travail et la vie personnelle.

Votre entreprise est vivante. Elle respire, et doit être nourrie pour survivre et pour grandir. Si votre entreprise subit des problèmes, vous devez vous en occuper. Si vous croyez que vous pouvez partir une entreprise tout en continuant de suivre le même train de vie, vous faites erreur. Le monde des affaires est comme un chiot affamé. Lorsqu’il a besoin de manger, il doit manger, peu importe ce qui se passe dans votre vie personnelle.

 

9. Être impliqué en affaires est difficile.

Pourquoi aussi peu de compagnies et d’entrepreneurs y arrivent? Parce que ce n’est pas facile.

Soyez honnête envers vous-même. Quel prix êtes-vous prêt à payer pour permettre à votre entreprise de réussir? Pourriez-vous sacrifier votre temps, votre famille, vos amis, vos parties de golf, votre vie sociale entière? Vous n’aurez peut-être pas à le faire, mais vous devriez vous demander si vous y seriez préparé.

 

10. Tout est dans l’approche.

Travaillez dur. Ayez du plaisir. Soyez juste. Rêvez grand.

On n’a qu’une seule chance dans cette vie. Si vous voulez jouer à ce jeu, jouez-y pour gagner.

 

 

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Comment surmonter le perfectionnisme pour réussir en affaires selon Elizabeth Lombardo

Il y a une épidémie dans notre nation. Ses victimes souffrent d’échecs en affaires, de mariages râtés et même d’abandon de diètes. Personne n’est à l’abris. Quelle est cette épidémie ? On l’appelle le perfectionnisme. L’illusion de la perfection peut être décourageante pour de nombreux entrepreneurs.

Le perfectionnisme est l’attitude du tout ou rien. Un perfectionniste qui n’a pas son logo dira qu’il ne peut faire ses cartes d’affaires et qu’il ne peut chercher de nouveaux clients sans ses cartes. Il décidera donc de rester chez lui et de ne rien faire.

Ce type de perfectionnisme crée du stress, empêche la créativité et nuit à la productivité. La majorité des perfectionnistes ne remarquent même pas qu’ils le sont. Ils croient que la recherche de la perfection est une définition du bon travail. Par contre, vous verrez, le perfectionnisme peut être ce qui empêche au succès désiré d’être atteint.

Voici 5 trucs pour surmonter le perfectionnisme pour commencer une entreprise.

 

1. Terminé, c’est meilleur que parfait.

Quelqu’un de trop perfectionniste dirait que son site web n’est pas en ligne parce qu’il n’est pas parfait, qu’il ne connaît pas son client idéal, donc qu’il ne tentera pas de cibler d’autres personnes. Travailler sur un projet et ne pas voir à son achèvement, c’est comme bâtir des demi-ponts. Les perfectionnistes sont sur des demi ponts qui ne mènent nulle part puisqu’ils ont trop de difficulté à finir ce qu’ils ont commencé.

Action: Lancez-vous et finissez ce que vous commencez. Ne laissez pas votre perfectionisme vous empêcher de commencer ou compléter un projet. Vous pouvez toujours faire des changements avec le temps.

 

2. Les obstacles peuvent être des avantages.

Quelqu’un de trop perfectionniste dirait que si ça ne fonctionne pas, c’est peut-être un signe qu’il faut abandonner, qu’il a déjà échoué dans le passé et que ce n’est pas grave. Les perfectionnistes voient les obstacles ou les erreurs comme des échecs totaux.

Action: Ne pas abandonner. Un obstacle sur la route n’est pas une indication que votre plan est mauvais, c’est une preuve que vous devez pensez plus créativement. Remplacez le terme « échecs » par « données ». Quand les choses ne vont pas comme prévu, trouvez pourquoi et utilisez cette information pour aller de l’avant.

 

3. L’importance de déléguer.

Quelqu’un de perfectionniste dirait qu’il doit tout faire lui même pour que ce soit fait, qu’il n’a pas le temps de trouver et d’entraîner quelqu’un pour l’aider et que c’est plus facile de le faire lui-même.

Action: Essayer de coder votre site en entier, de développer les stratégies de marketing et de vendre vos services vous-même vous empêchera de réussir. Déléguer des tâches. Prenez le temps de trouver et d’entrainer une équipe qui vous permettra de vous concentrer sur ce que devez faire pour développer votre entreprise, comme des appels de vente. Utilisez votre temps et votre énergie de manière intelligente.

 

4. S’entourer de bonnes personnes.

Quelqu’un de perfectionniste dirait que les détails sont très importants. Les perfectionnistes ont tendance à se concentrer seulement sur les détails, alors qu’il existe des spécialistes qui ont une vue d’ensemble et savent prioriser les bons aspects.

Action: Une suite intéressante au point précédent est de choisir des personnes qui ont une vision d’ensemble pour permettre au projet d’être encore meilleur. Un spécialiste ne permettra pas que le temps d’une équipe soit perdu dans des détails qui ne sont pas utiles.

 

5. Se concentrer sur ce qu’on veut plutôt que sur ce qu’on ne veut pas.

Quelqu’un de perfectionniste dirait qu’il devrait être plus rentable et qu’il ne veut pas échouer. Les perfectionnistes se concentrent souvent plus sur ce qu’ils ne veulent pas que ce qu’ils veulent. En d’autres mots, ils se concentrent plus sur leurs craintes que sur leurs objectifs.

Action: Être motivé par la passion plutôt que par la peur. La peur de l’échec peut être profitable pendant quelques temps, mais elle cause la nervosité et l’échec en affaires. Concentrez-vous sur la passion, qui comprend la partie financière autant qu’émotionnelle.

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Entrepreneurship

Les 6 règles de Wal-Mart pour l’expansion d’une entreprise

Tout ce que Walmart fait est immense. Ils emploient 2,2 millions de personnes dans 27 pays, ont 11 453 magasins, et leurs ventes se sont élevées à $ 485,7 milliards au cours de la dernière année fiscale.
La gestion de la plus grande entreprise au monde (en revenu) est maintenant entre les mains de Doug McMillon. À 48 ans, il est le plus jeune de l’histoire à la tête de la chaine (à l’exception du fondateur, Sam Walton). McMillon a passé toute sa vie professionnelle chez Walmart. Il a commencé en déchargeant des camions alors qu’il était encore étudiant et s’est rapidement installé dans la gestion. Après avoir passé cinq ans à gérer les opérations étrangères de Walmart, il est devenu PDG en 2014.
Gérer une entreprise qui s’étend sur de nombreux pays et cultures est particulièrement complexe. Voici six leçons de gestion d’une entreprise mondiale que McMillon partagées durant un discours à Stanford School of Business au mois de Février.
Le consensus ne fonctionne pas.
À l’interne, les employés utilisent l’expression «Qui détient le D?!», cela signifie: «Qui est le décideur?», raconte McMillon. Un bon gestionnaire peut connaitre 80% d’un problème, dit-il, et une autre personne dans la salle connait l’autre 20%. «Votre travail consiste donc à communiquer ce que vous pensez du 80% que vous comprenez, tout en écoutant suffisamment pour comprendre l’autre 20%.»
Les cadres supérieurs doivent cultiver la sagesse collective de leurs équipes. Cependant, attendre un consensus peut vous tuer, parce que la vitesse d’exécution est aussi très importante». Le défi pour Walmart, raconte McMillon, «est de faire en sorte que les bonnes personnes dans la salle prennent la meilleure décision et de passer au prochain point.»
Ne pas sous-estimer les différences culturelles.
Walmart s’est établi en Allemagne en 1997, mais n’as jamais pu capturer plus d’environ 2% des ventes de produits alimentaires. «Je ne pense pas qu’il est possible de trop insister sur l’importance de la culture. Ce que nous entendons par là est le comportement», rapporte McMillon. Walmart a acheté deux entreprises locales afin de les fusionner. Néanmoins, ils n’ont pas réussi à écouter les conseils des responsables locaux, dit-il. «Nous avons essayé d’installer notre culture trop vite dans cette organisation. Nous avons tenté de leur enseigner la joie de vie Walmart et de leur remettre notre technologie en leur demandant de tout laisser tomber le reste. Puis, tout s’est écroulé.» L’effort a été considéré comme un échec en 2006 et Walmart a fermé ses opérations allemandes.
S’adapter aux législations étrangères.
La législation gouvernementale joue un rôle important. Parfois, la meilleure chose à faire est d’attendre, et de voir si les règlements changent, dit McMillon.
En Inde, par exemple, la présence de Walmart est limitée à 20 unités «cash-and-carry» qui vendent aux petites entreprises parce que les grands magasins appartenant aux étrangers ne peuvent vendre directement aux consommateurs.
«Nous aimerions bien avoir une plus grande entreprise, mais en ce moment tout ce que nous pouvons faire est de développer ces unités «cash-and-carry» en attendant de voir si la réglementation changera» dit-il.
Comprendre les goûts locaux.
La mondialisation a rendu des marques comme Pampers et Colgate omniprésentes, cependant, les préférences sont toujours locales, dit McMillon. «En conséquence, des équipes d’achat locales sont une nécessité. Nous employons du talent local pour décider de la façon dont nous pénétrerons le marché, où nous situerons nos prix et quels articles nous distribuerons».
Transférer votre expertise aux équipes locales.
S’adapter à une culture étrangère ne signifie pas jeter toutes les leçons acquises aux États-Unis. «Nous en avons appris beaucoup sur la vente au détail, les technologies, les chaînes d’approvisionnement et sur le modèle d’affaires en soi et nous devons les appliquer au fil du temps. Nous embauchons donc des gens talentueux pour exécuter le plan sur les différents marchés, puis nous leur donnons les outils et les ressources nécessaires. Le résultat : une culture et un modèle d’entreprise plus homogène» raconte McMillion.
Voyez par vous-même.
Bien sûr, un gestionnaire ne peut pas être partout à la fois. Il doit donc s’appuyer sur une équipe solide. «Il n’y a cependant aucun remplacement à la compréhension d’une entreprise que de voir par soi-même, j’ai donc beaucoup voyagé durant cinq ans et je ai adoré», dit-il.

 

Bien que la plupart des stratégies d’expansion d’un géant comme Wal-Mart ne s’appliquent généralement pas à une PME, il reste intéressant de voir comment les géants opèrent. Nous pouvons ainsi développer un oeil critique sur nos propres opérations.

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La patience : Une vertu du passé

De nos jours, la patience est une vertu largement surévaluée. Ce qu’il faut comprendre, c’est que les mérites de la patience appartiennent à une autre époque. Il y a 100 ans, pour savoir la température qu’il ferait, il fallait simplement attendre au lendemain. Les gens communiquaient par la poste. À cette époque, pour trouver une information, il fallait trouver le bon livre ou un expert dans le domaine. De plus comme les ressources étaient rares, il était coûteux de rater son coup.

Aujourd’hui, en contraste, il faut moins de temps pour envoyer un message dans un pays étranger que pour rassembler les éléments nécessaires pour écrire une lettre. Il est possible de demander verbalement à son téléphone combien il y a de calories dans un «Big Mac» et d’avoir l’information exacte instantanément. De plus, beaucoup de ressources sont si abondantes et peu coûteuses que nous pouvons nous permettre de nous tromper quelquefois avant d’arriver résultat final.

Pourquoi parler de ça ? Parce qu’au 21ième siècle, la patience a été remplacée par l’urgence. Beaucoup de gens attendent que les choses leur arrivent plutôt que de se lever et d’aller les chercher. Ceux-ci sont gravement pénalisés par le marché. Trop de décisions sont remises à plus tard en attente d’une plus grande certitude alors qu’en réalité :
1. Le temps n’empêche personne de se tromper
Le pire d’attendre et de réévaluer une décision trop de fois est de réaliser que malgré tout le processus, nous avons tout de même fait le mauvais choix. Le temps ne fait que donner plus d’espace à l’insécurité pour s’installer sans garantir définitivement qu’on va prendre la bonne décision.
2. Plus vite on prend une décision, plus vite on peut en connaitre son effet :
Dans un marché qui bouge aussi rapidement, deux actions similaires peuvent avoir des issues totalement différentes. La seule façon de savoir avec certitude est donc de foncer. Plus on attend, plus de temps est investi dans la décision. Elle devient alors plus coûteuse, peu importe son résultat.

En conclusion, la patience est une vertu dépassée. Si une opportunité semble intéressante, on fonce. Ce n’est pas nécessairement en affaires : une personne qui nous plaît, un emploi/promotion, ou un voyage à l’étranger sont tous des exemples d’occasions ou la patience ne va qu’aider les autres à nous damer le pion.

Il est donc temps de passer à l’action.

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